Wolfgang Amadeus Mozart
Adagio et fugue KV 546, en do mineur, pour cordes
L’Adagio et fugue en do mineur KV 546 est une transcription pour cordes de la Fugue en ut mineur pour deux pianos. C’est cependant dans cette version qu’elle est la plus connue. L’œuvre est en partie inspirée par le modèle contrapuntique de Jean Sébastian Bach. En 1783, il compose une Fugue en do mineur pour 2 pianos KV 426, qu’il transcrit,en 1788 pour cordes en lui adjoignant un adagio introductif.
Sérénade n°6, KV 239, en ré majeur, pour orchestre
La Sérénade n°6 KV 239, en ré majeur, pour orchestre, « Sérénade nocturne », a été écrite à Salzbourg, en 1776. Sur le manuscrit original, son père, Léopold Mozart, a écrit le titre et une date : « janvier 1776 ».
Ave verum corpus KV 618, pour chœur et orchestre
Composé pour la Fête Dieu de 1791 ce chef d’œuvre de 46 mesures exprime la quintessence et l’universalité des sentiments de l’homme face à sa propre mort. « La beauté séraphique de l’œuvre finit par nous rendre aveugles face à la maîtrise technique » (Alfred Enstein)
Dixit et Magnificat, en do majeur, KV 193, pour solistes, chœur et orchestre
Composé en 1774, cette pièce est destinée à l’office des Vêpres du dimanche. Elle s’articule autour du Dixit Dominus (psaume 110) et du Magnificat. Requiem en ré mineur, KV 626, pour solistes, chœur et orchestre Le Requiem est sans doute l’œuvre la plus connue de Mozart. Le mystère de sa composition et le fait qu’elle soit restée inachevée à la mort de Mozart ont suscité de nombreuses hypothèses et inspiré des cinéastes. Elle constitue cependant, selon Nikolaus Harnoncourt, la “seule œuvre autobiographique de Mozart”.