Aimez-vous Brahms…et ses amis ?

Johannes Strauss II

 

« Seid umschlungen, Millionen » op.443

« embrassez-vous, millions d’êtres ! » ) est une valse composée par Johann Strauss II. Elle a été exécutée pour la première fois à la Grande Salle du Musikverein à Vienne en Mars 1892. Le titre de la valse a été emprunté à l’Ode à la Joie de Friedrich Schiller. La pièce est dédiée à un ami proche de Strauss : Johannes Brahms.

Anton Dvorak

2 Danses slaves

Les Danses slaves de Dvorak figurent parmi ses œuvres les plus appréciées. Il s’agit de deux séries contenant chacune huit pièces n’ayant aucune parenté tonale ou thématique entre elles. L’une et l’autre ont été écrites en premier lieu pour piano à quatre mains, avant d’être orchestrées par le musicien lui-même. L’écriture de ces danses a été inspirée au compositeur Simrock, éditeur de ce dernier.

Robert Schumann

 

Concerto pour violoncelle et orchestre en la mineur op.129

Composé en octobre 1850, juste après la Symphonie « Rhénane » dans le même climat d’heureuse créativité, avec la même surprenante rapidité, les 3 parties de ce concerto s’enchainent sans interruption favorisant une grande liberté du discours musical. Cette œuvre reste une pièce importante du répertoire du violoncelle. Nominé aux Victoires de la Musique en 2013 dans la catégorie Révélation Soliste Instrumental, Victor JULIEN-LAFERRIÈRE sera l’interprète de ce concerto. Seiji Osawa, puis s’est produit avec les plus prestigieux orchestres dans les plus grandes salles de concert. Il a créé le « Trio les Esprits » avec Adam Laloum et Misa Yang. Un jeune violoncelliste à découvrir pour ceux qui ne l’ont pas encore entendu en musique de chambre ou avec orche.

Johannes Brahms

Symphonie n°4 en mi mineur op.98

Des les premier et second mouvements, il est impossible de ne pas déceler des accents dvorakiens, annonciateurs de la Symphonie du Nouveau Monde et du concerto pour violoncelle du musicien tchèque. Dernière œuvre orchestrale de Brahms, cette symphonie est définie comme une « symphonie d’automne », image qui en traduit bien l’humeur à la fois tourmentée, fougueuse parfois rude et solitaire. Cette symphonie a été créée le 25 octobre 1885 à Meiningen sous la direction de Brahms.